Le Beautifull Looser Club

Pour être membre du BLC, les critères sont assez simples : vous êtes en couille ou à la rue, à coté de la plaque ou en sucette, c'est pour vous ! Vous touchez le Rmi, vous êtes célibataire ou en passe de le devenir, vous n'avez pas de baraque, ni d'enfants, ni de boulot, ni de voiture, le BLC sera votre nouvelle famille. Vous êtes une sorte d'ado attardé, du genre qui refuse d'affronter la réalite de ce monde de brutes, alors viendez ! Vous devez nous envoyer un demande d'adhésion argumentée, et le jury étudiera votre requête. N'oubliez pas d'insister sur votre coté Beautifull. (Utilisez les raccourcis mail un peu partout ci-après).

lundi 29 octobre 2007

Les Blousons Noirs : quintessence de la loose ?

L'excellent label Born Bad Record, vient de sortir une pépite du monde de la loose. Les deux premiers EP d'un groupe sorti de nulle part : les Blousons Noirs. Je ne peux m'empêcher de vous retranscrire la note discographique contenu dans le CD.
"Témoignage ultime de la rage adolescente et quintessence du rock'n'roll, les 8 titres des Blousons Noirs sont essentiels pour comprendre ce qu'est le rock et ce qu'il devrait toujours être : volontaire, primitif et sauvage.
Originaires de Bordeaux, les Blousons Noirs semblent bien avoir acheté leurs intruments le matin pour enregistrer l'après-midi : le chanteur est à contretemps, le batteur super fébrile et le guitariste autiste. Pas de complexes pour les Blousons Noirs dont l'enthousiasme et l'insouciance sont tels que les morceaux en deviennent délicieusement jubilatoires.
Leur deux uniques EP, véritables "ovnis" sont sortis respectivement en 1961 (EP "Spécial Rock")et 1962 (EP "Spécial Twist") sur le label Guilain. C'est tout naturellement dans le répertoire des groupes nationaux que les Blousosns Noirs ont puisé leurs reprises de standards du rock'n'roll français... pour les massacrer avec entrain!Les Chaussettes Noires, les Chats Sauvages et 2 titres de Johnny sont ainsi à l'honneur et seul "Les fous du twist" semble être une composition originale de leur producteur, le jeune Claude Ghislain. Pour mémoire, leur "Eddy soit bon" était à l'origine le "Johnny be good" de Chuck Berry. Bravo les gars, du beau boulot !
Une longue année a séparé l'enregistrement des 2 EPs sans qu'aucune amélioration ne soit réellement audible. Les Blousons Noirs étaient mauvais et s'en foutaient pas mal, manifestement. L'utilisation de la même photo pour la pochette des deux disques renforce même ce sentiment de "lose totale" (ndr : il veut dire loose) et de "je-m'en-foutisme" assumé si rock'n'roll.
On pourra toujours réduire ce groupe à une blague de potaches, une curiosité, mais que vous le vouliez ou non, les Blousons Noirs sont précurseurs du Punk et de l'esprit DIY. Pour que vous comprenenz bien, il faudra attendre 1964 pour qu'Hasil Adkins publie son "She Said", 1965 pour que les péruviens de Los Saicos mettent en boite leur "Demolicion" et 1966 pour que le Legendary Stardust Cowboys nous livre son killer "Paralysed". Les Shaggs et leur tardif "Philosophy of the world" en 1969 sont évidemment hors course.
Pour devenir un groupe tout à fait "culte", les Blousons Noirs n'avaient plus qu'à rester dans l'anonymat. Nos investigations ont donc été vaines pour tenter d'identifier ces rockers. Nous savons seulement qu'ils n'ont rien à voir avec le groupe homonyme qui servait de backing band à Tony March, l'Elvis d'Aquitaine. En réalité, l'unique information concernant l'identité des Blousons Noirs nous provient de Marc Liozon (rédacteur en chef du fanzine Le club des années 60) ayant retrouvé un exemplaire du second EP dédicacé par le groupe à l'attention d'une certaine Minie. On y découvre ainsi que le groupe serait composé d'un certain Clod, guitariste soliste, d'un Jo à la guitare rythmique, d'un Did à la batterie et enfin d'un certain Samy au chant... Une belle brochette !
Bref, pas d'état civil connu, pas de concerts, pas de photos, deux disques de tarés sortis de nulle part... Vive le punk, vive la France, vive les Blousons Noirs!"
Biensur le BLC n'adhère pas totalement à l'ensemble des propos de son auteur (Sûrement JB Guillot, le responsable de Born Bad Records). Mais avouez que dans le genre loosers ont est dans le dur.
Une p'tite écoute de la loose ?





Cet objet nécessite un plugin pour être lu ou le fichier n'est pas accessible.
Vous pouvez tenter d'ouvrir directement le fichier par ce lien.

Pour Born Bad Records c'est là.

jeudi 25 octobre 2007

BLC Women section : Vénus Flytrap

Vous l'avez compris depuis bien longtemps, la loose n'est pas une exclusive masculine. Voici donc Doddy, (a.k.a. Ramona la muerte) plus connu sous son nom de scène Vénus Flytrap, one girl band. Il faut dire que les One man band sont de tels nids à loosers que l'on va bientôt créer une section spéciale au BLC. Mais là on en tient une splendide. Style gypsie-punk. Enfin surtout punk. Sa musique est agressive, dissonante, psychédélique. Y a comme des relents de came qui monte de tous les cotés. Donc on adore. Figurez-vous que la dame est aussi tatoueuse (Elle vit près de Lyon mais passe à Paris régulièrement). Du fond de sa caravane elle déchire tout.
Voilà, voilà.

C'est là pour Vénus Flytrap;
C'est là pour le tatouage et ;
Et c'est là pour elle-même.

La relève de la loose : Dirty Ape

Le problème avec la loose c'est qu'il faut prévoir la relève assez rapidement. Le BLC vous recommande donc de jetter un oeil sur le travail d'un jeune graphiste qui n'est pas encore membre du BLC, mais qui en a toutes les qualités. M. Adrien (a.k.a. Eraserhead ) plus connu sous son nom d'artiste Dirty Ape. Dans le genre dirty, il est difficile de faire mieux. Vous verrez par vous même : c'est crade, dégeulasse,ça sent la gerbe à plein nez. En somme c'est la loose. C'est un jeune looser plein d'avenir. Mais ne lui dîtes pas, il se prend pour un artiste. Remarquez c'est plutôt bon signe pour nos futurs bataillons. En plus il fait de la musique avec une de ses amies (Celine) qui vaut le détour aussi et devinez quoi ? C'est crade, ignoble, horrible. Mais ca sent tellement la loose qu'on adore.

Vous le trouverez là : Dirty Ape
Ou là : Dirty Ape bis
Et là pour son projet musical : Eaters Clitoris Ames sensibles s'abstenir !!!

mercredi 24 octobre 2007

Encore une p'tite louche

Parce que la séquence avec Jack Findlay est vraiment trop bien, voici le générique de fin du même Continental Circus. C'est court mais on aime bien... Et puis ce morceau de Gong c'est tout simplement une tuerie.
Respect !

mardi 23 octobre 2007

Live fast. Love Hard. Die Young.

Puisque qu'on est dans la loose sur deux roues, on va immédiatement mettre la barre au plus haut. Un film culte sur un looser magnifique. Il s'agit de "Continental Circus" de Jérome Laperrousaz, sorti en 1971. Ce film raconte la saison 1970 du championnat du monde de moto de course, d'un pilote australien privé, Jack Findlay. Loin du confort des grosses écuries, il se bat avec talent pour trouver des montures, se rendre sur les circuits et assurer la course. Avec Nanou, son assistante, sa femme et un peu sa mère. Le générique rend hommage à tous les coureurs décédés. Le BLC en profite pour se souvenir de ses amis disparus trop tôt et rend un vibrant hommage à Jack Findlay, décédé en mai 2007. RIP.
Live fast. Love Hard. Die Young.

Vous y entendrez aussi le sublime morceau de Gong : "Blues for Findlay" extrait de la b.o. du film.

La loose c'est la méga classe !

La loose ça se travaille, ça se mérite et ça peut rapporter gros. Voici donc un court-métrage bien connu des amateurs d'anglaises. De motos anglaises. En v.o. : Tunnel of love et en v.f. : Café racer. Vous vouliez savoir ce que c'est que d'être un beautifull looser ? Eh bien la réponse est là :

Et il n'y a rien à ajouter !
Si, une p'tite dédicace à notre ami grand Fred (a.k.a. Fred Norton).

Ca s'passe comme ça chez les loosers !

Ben oui, si vous êtes au BLC, manger tous les jours c'est compliqué. Alors pas de panique. Un de nos camarades vous donne la recette. Sa devise : "C'est en faisant n'importe quoi, qu'on devient n'importe qui !" Le BLC ne pourrait pas dire mieux. Alors bon'ap et n'hésitez pas à nous faire partager vos petites astuces pour survivre au quotidien, ou comment être de la loose et y rester.
Enjoy !

Etre n'importe qui et faire n'importe quoi c'est un boulot à plein temps. La preuve ici.

samedi 20 octobre 2007

Le 8 novembre 2007 le BLC sera là :

Pour fêter l'anniversaire de l'une des membres les plus éminentes du BLC : Marie-Laure Dagoit. Enfin l'anniversaire de sa maison d'édition : Derrière la salle de bain. Marie-Laure est l'une des belles looseuses qu'il nous ait été donné de rencontrer. Elle écrit des textes à tomber, intenses, drôles, poétiques, sombres, glaçants, surréalistes et d'une sensualité totale. Maintenant elle chante avec son camarade Laurent la Torpille. J'adore sa voix. La musique se place juste en dessous et porte par vague son timbre fluet. Une sorte de petite pierre précieuse. On pourrait s'en faire des boucles d'oreilles. Enfin plein de talents, et la loose totale. On l'adore pour ça !

On vous a déjà donné les adresses, mais on va insister un peu :
Pour Derrière la salle de bain, c'est là.
Et pour Rose Cabine, son projet musical, c'est là.

jeudi 18 octobre 2007

On peut être vieux, malade du coeur et le plus heureux des hommes.

La preuve :

La demande d'adhésion du petit Nicolas

Nous avons reçu la demande d'adhésion d'un certain Nicolas. Nous la portons à votre attention. Soyez gentils de nous faire part de vos commentaires afin que nous
PS. Je t'envoie une photo de ma chérie. Elle est à droite avec l'un de ses oncles, je crois".

Cher Nicolas,
je comprends bien ton coté looser, mais il nous manque encore quelques détails concernant ta façon de vivre. Montre-nous aussi ton coté Beautifull, qu'on a un peu de mal à voir. Nous gardons donc ton dossier sous le coude en attendant que tu nous apportes les informations nécessaires. En attendant nous sommes de tout coeur avec toi.
BLC.

mardi 16 octobre 2007

Maman t'es aussi de la loose ??!!!


Remerciements à notre muse qui se cache Derrière la salle de bains

Loser by Les Plasticines

Les Plasticines on extrait un premier single intitulé "Loser" de leur premier album. On ne pouvait pas rester les bras ballants !
Allons-y franco de port ! On est quarantenaires (un peu passé même), on aime le rock'n roll, donc on est des gardiens du temple. Du genre de ceux qui aime bien le marbre et les parquets en chêne qui craquent. Ca tombe bien parce que comme ça on va pouvoir s'en payer une bonne tranche à propos de la fameuse "nouvelle scène rock parisienne"! Mais on va pas se payer tout le paquet d'un coup.
Commençons donc par les Plasticines. Il faut d'abord dire que les pauvres font un premier titre issu de leur album qui stygmatisent les loosers. Ce qui, vous le comprenez aisément, n'est pas fait pour nous plaire. Voici donc l'un des premiers hymnes de cette "nouvelle scène rock parisienne" qui clame haut et fort : nous on est des vainqueurs. C'est vrai j'avoue qu'elles ont des bonnes têtes de vainqueures. Elles travaillent plus pour gagner plus. Leur nouveau Président doit être fier de ses petites fifilles !!!
En fait on se fout des Plasticines. Que des producteurs de maison de disque passent leur temps à essayer de vendre de la lessive pour de la musique, c'est leur boulot, ils sont payés pour ça. On sait que ce qui provient de chez eux, ne sont que des produits de grande consommation. Bien emballés, bien ficellés, propres et sans danger aucun. D'ailleurs leurs artistes le disent eux-mêmes (cf les Naast) : ils sont là pour prendre la monnaie et basta. Mais là où leur histoire de "nouvelle scène rock parisienne" devient franchement pénible, c'est lorsqu'ils essaient de nous faire prendre nos vessies pour des lanternes. Lorsqu'ils essaient de nous faire croire à l'authencité de cette scène, aux talents émergeants, au gout plus vrai que nature, bla bla bla. Et c'est là que les relais médiatiques se mettent en place (je vous recommande vivement la lecture des éditos de Philippe Maneuvre dans Rock and Folk. C'est à se rouler par terre !). Que les Plasticines soit un bon groupe de variété soit ! Elles ne sont pas pires que les émoulus de la Star Ac et compagnie. Mais qu'elles se revendiquent de l'héritage des Ramones et je me permets de glousser (même si Joe Ramone ne fait pas partie de mes amis et encore moins du BLC). La vraie question est donc pourquoi les Plasticines ont-elles droit à la couverture de Rock n' Folk an mars 2007 alors qu'elles sont inconnues de chez inconnu et pas spécialement talentueuses ? Pourquoi les Plasticines (et leurs camarades de la "nouvelle scène rock parisienne") ont-ils (elles) le droit à des couvertures média aussi spectaculaires ? Tous ces épiciers essaient de nous faire croire que cette pseudo scène est le seul endroit où il y a du talent et des groupes de rock.
Mais voilà depuis cinq ans, il y a une vrai explosion de groupes de rock. Et des groupes autrement plus authentiques et talentueux que les Plasticines, les Nast et autre Second Sex. Pourquoi le trio féminin Tu Seras Terriblement Gentille n'a t'il pas droit au même traitement que les autres ? (R&F leur a consacré une page en septembre pour la sortie de leur premier simple) Pourquoi Frustration n'a-t'il pas le droit a des articles louangeurs à la hauteur de son talent? Pourquoi n'entend-on pas parler des Ronnie Rocket, des Vegas ou autres Dick Voodoo? On pourrait multiplier les exmples à l'infini. Il y a des centaines de groupes de rock talentueux, énergiques et authentiques partout en France et on nous rebat les oreilles en permanence avec les trois pauvres groupes parisiens qui sont drivés comme les chevaux du tiercé.
La réponse est simple : il n'y a pas de places pour tous les groupes dans les linéaires des supérettes du rock. Donc en occupant tout le terrain médiatique et en faisant en sorte qu'il n'y ait pas d'informations à la marge de leurs grosses productions, les petits dealers de la musique font monter une sauce qu'ils veulent être les seuls à éponger. L'industrie du disque est à la dérive et avec ses camarades VRP de la presse rock, ils tentent de survivre et de sauver leur fauteuils en cuir. Ils en deviennent hégémoniques. Mais voilà, le rock c'est justement le contraire. Et comme nous sommes les gardiens du temple, des sortes d'ayatollahs du riff merdique, on revendique le droit à la différence. Le rock n'est pas la énième marque de haute couture. Le rock n'est pas chic. Le rock c'est la loose et les rockers sont des vrais loosers. J'pourrais même ajouter qu'on en est fiers. Fallait pas vous attendre à autre chose sur le blog du Beautifull Looser Club ! C'est vrai que ce n'est pas très nouveau mais fallait le dire. Vous en faîtes pas il y aura d'autres occasions...
Donc voici l'objet du délit :

Et pour enfoncer les clous sur le cercueil :
Les anti-plasticines Et vive les loutres !

dimanche 14 octobre 2007

Le diable est donc anglais

On va pas en rajouter une couche sur nos meilleurs ennemis, nos voisins d'outre manche. Mais bon après le coup de Trafalgar qu'ils nous ont encore fait hier soir, nous avons besoin de comprendre. Et c'est Brigitte Bardot qui vient nous donner une première réponse. C'est en anglais. Du coup c'est plus aussi clair que ça comme réponse. On y apprend malgré tout que : "The devil is english". Donc tout s'éclaire !


Remarquez c'est un peu comme leur rugby, c'est pas très clair...

Les méfaits du LSD sur les chanteurs de variété.

Bon parfois on se réveille le dimanche avec une geule de bois. On lutte pour ouvrir un oeil et vlan! on tombe sur un truc du genre qui suit. A savoir Bardot, Gainsbourg et Distel qui font la bise aux hippies. Bon en soi, c'est déjà compliqué de se l'imaginer mais quand on regarde ce qui doit être un scopitone, on regrette d'avoir lutté pour sortir du coma. Ou bien le contraire. On sait plus trop...


Il y a t'il des beautifull looser parmis eux ? Je ne pense pas. Mais tous les trois dans cet exercice, c'est quand même franchement la loose !

Rigolons un peu avec la mort #1

Un dernier post pour ce soir. D'abord avecun félé de première. Belge lui-aussi. Je pense qu'il n'aurait pas sa place au BLC. Mais on l'aime bien tout de même : Benoit Poelvoorde. Et ensuite l'un de nos maîtres : Pierre Desproges (again).
PS : vous assisterez de vos yeux médusés au développement d'un gros tropisme belge dans les post qui s'enchaineront ici. Nos cousins sont une source permanente de joie.




Un deuxième hommage à Desproges

Parce que finalement ce qu'il dit, a une certaine résonnance avec la réalité que nous vivons. C'est compliqué la vie...

Un p'tit clin d'oeil à l'un des plus beaux loosers : Pierre Desproges

On pourrait se demander si Pierre Desproges était vraiment à la rue. Je crois qu'il était vraiment quelqu'un qui partait en couille. Comme dirait un de nos amis : "il était de la bonne vrille". La preuve il est mort d'un cancer à 49 ans.
La vidéo ci dessous est extraite de ce qui semble être la première emission de Michel Denisot sur Canal +. Pierre Desproges y commente l'entartage de Bernard Henri Lévy par Noël Godin (en voilà un qui mériterait largement une place au jury du BLC. Noël Godin pas BHL). Le commentaire est plutot accerbe. Ce qui ne me dérangeait pas à l'époque. Mais aujourd'hui BHL est au coeur d'une polémique avec l'un des conseillers politiques de leur président Sarkozy. Et pour une fois je le trouve plutot à son avantage puisqu'il fait tomber le masque libéral d'un vrai réactionnaire. Disons qu'avec l'âge, il devient peut-être un peu moins branquignole.
Allé, trèves de conneries : enjoy !

mercredi 10 octobre 2007

Premier de la classe

Voici notre première demande

"j'adhère de tout coeur....
bises
fx "

Sachez M. Fx que comme demande d'adhésion argumentée ça se pose un peu là ! En même temps comme demande d'adhésion d'un looser, c'est pas mal. Le jury va donc s'octroyer une période de réflexion car votre cas n'est pas simple. Vous venez de prouver que vous avez un petit coté looser. Mais nous savons tous que vos éminentes responsabilités au sein de notre communauté vous excluent quasiment d'office du BLC. C'est pourquoi nous aurions besoin d'éléménts suplémentaires pour juger de la réalité de votre qualité de beautill looser. Nous mettons donc votre requête au frais le temps qu'on y pense.
Mille bises tout de même

Welcome on board

Ca fait cinq ans, au bas mot, qu’on en parle, il est donc grand temps de continuer.

Mais bon… Pourquoi ne pas créer le Beautifull Looser Club sous forme de blog. Parce que comme ça on pourrait continuer à en parler. Voilà donc qui est fait. Le BLC est désormais officiel.

« Nous étions deux, et nous finîmes des millions ». (Spartacus).

Pour les postulants, et nous savons qu’ils sont nombreux, les demandes d’adhésion sont à poster ici même. Un jury de spécialistes de la loose (en cours de constitution), déterminera le bien fondé de leur demande.

Pour vous aider à remplir votre demande, nous vous rappelons tout de même quelques critères de sélection :
-
Dans Beautifull Looser Club, il y a beautifull. Et donc c’est sur votre qualité de beau loosers que nous statuerons ;
-
Il y a aussi looser. Et donc le statut de membre n’est pas définitif. En revanche, certains, malgré tous leurs efforts, sont membres à vie. ;
-
Le jury se garde donc le droit de réviser la liste des membres régulièrement. Nous demandons à ceux dont le statut changerait de bien vouloir en avertir le jury ;
-
Les demandes d’adhésion seront publiées sur ce blog. Et chacun pourra donc en discuter.

A titre d’exemple voici quelques uns de nos parrains, de ceux dont l’œuvre et la vie nous inspirent à chaque instant. Citons à la volée, Patrick Eudeline, Hasil Adkins, James Dean, Marylin Monroe, Patrick Dewaert, Philippe Léotard… Cette liste n’est pas exhaustive Que les illustres oubliés ne nous en tiennent pas rigueur.

PS : Pour les loosers qui n’ont pas d’ordinateur, ils peuvent poster leur demande ici même.